Couteaux du SICAC 2012
Très modeste contribution...
Cela présente un avantage : cet article sera bref, l'inconvénient, c'est que je vais oublier du monde et ce n'est pas bien.
Cette édition était très bonne pour trois raisons :
1 - Un large public a afflué sur les deux jours, c'est rassurant.
2 - Les "anciens" sont toujours aussi performants.
3 - La "nouvelle" génération monte, monte, monte !
Commençons par les plus "connus" :
Allen Elishewitz était de retour en personne, himself, au SICAC. Impossible de discuter avec lui le premier jour, tant il a été sollicité. Mais le deuxième, j'ai pu bavarder avec lui sur les modèles qu'il ne fera plus () et ses envies à venir : plus de matières et de couleurs, et cela se voit :
Pour les exposants les plus récents, il n'y a que des bonnes nouvelles :
Je ne vous montrerai pas de photos de la table de David Lespect, pas parce que j'ai oublié mais il n'y a aucun intérêt à photographier une table vide, vidée en 40 minutes chrono ! Cela m'a au moins permis de papoter tranquillement avec lui, notamment sur sa façon de faire évoluer les designs.
Dans la production super évoluée et avec talent, citons l'excellent Thierry Savidan. Cette année, c'est sa collaboration avec Raphaël Durand, qui a fait la lame, qui m'a vraiment attiré, le Morfalock :
Pierre-Henri Monnet confirme sa virtuosité tant dans le tactique que dans le "old style", pliants et fixes :
Celui-là, le Sanjo, est rentré à la maison avec moi. Gentleman's folder extra-fin, léger, 8cm de tranchant. J'en ferai une revue DQP.
La rencontre avec les couteliers a été formidable. Cela a aussi permis de revoir les amis, couteliers ou non. Ils se connaissent .
Le SICAC, c'est bien.
Mots-clés : salons de couteaux
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